Tandis que la révolution gronde à Khartoum, Maher poursuit sa vie en
travaillant dans une briqueterie loin de la capitale ; on y découvre le labeur
besogneux et silencieux des ouvriers.
Dans un paysage grandiose et lumineux Maher va vivre sa révolution
intérieure que le réalisateur transcrit avec des symboles universels : l’eau
purifie, le feu embrase et la terre nous rappelle notre condition humaine.
Maher résiste aux puissants de ce monde tandis qu’il tente de dompter
l’eau tumultueuse du Nil que le barrage lâche.