Ce film tragicomique raconte avec sensibilité et humour l'histoire d'un homme qui, au moment que le rêve de sa vie se brise, découvre, combien il est aimé et combien il aime, et qui trouve alors un nouveau départ.
Namus (Hamo Beknazaryan, 1925)
Moskvich, My Love de Aram Shahbazyan (Arménie, France, Russie) a gagné le Prix du jury œcuménique, ainsi que celui de la FIPRESCI. Le jury œcuménique a décerné en outre une Mention spéciale à Sivas de Kaan Müjdeci.
L’Abricot d’or est allé à Embrace of the Serpent de Ciro Guerra (Colombie), l’Abricot d’argent à End of Winter de Kim Dae-hwan (Corée du Sud).
A l’occasion du centenaire du génocide arménien, deux programmes importants étaient dédiés à ce thème : "We Exist" se consacre au génocide arménien, tandis que "Never Again" traite d’autres exemples de génocide.
Le festival s’est terminé avec le premier long-métrage arménien de 1925, Namus de Hamo Beknazaryan.
Liens :
Prix du jury œcuménique
Ce film tragicomique raconte avec sensibilité et humour l'histoire d'un homme qui, au moment que le rêve de sa vie se brise, découvre, combien il est aimé et combien il aime, et qui trouve alors un nouveau départ.
Un jeune garçon va utiliser les ressorts du monde brutal des adultes pour forger son identité parmi les autres. Puissante immersion et invitation au changement dans un univers où l'amour et la solidarité ne devraient pas être le seul fruit du créateur.