Sergei Dvortsevoj raconte l’histoire d’une immigrée kirghize, Ayka, qui s’installe à Moscou. Il le fait de façon peu conventionnelle, viscérale. En montrant l’exploitation et la misère des migrants illégaux, le film donne un visage aux sans-visage. Le public est interpelé à partager les souffrances des marginaux.
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