Actualités
Autant le dire tout de suite, L’étrangère fait partie de ces films que l’on rejette ou auquel on s’abandonne.
Un nouveau jury INTERFILM à Venise pour promouvoir le dialogue inter-religieux
Dans l’attente de leur expulsion de la Suisse, des demandeurs d’asile sont retenus au centre de Frambois (Genève).
C'est toujours la même chose avec les festivals : le plaisir de voir tant de bons films le dispute à la frustration de ne pas pouvoir en voir plus.
Tout d’abord, signalons l’extraordinaire performance de Sean Penn, en rocker déchu, qui traîne un look de drag queen.
ar rapport à ses prédécesseurs, ce prix du Jury œcuménique de Cannes entre davantage dans la catégorie d’Adoration d’Atom Egoyan ou de Caché de Michael Haneke que dans celledes Hommes et des dieux de Xavier Beauvois : This must be the place fait partie de ces films qui ne s’offrent pas au premier regard et ne se laissent que progressivement apprivoiser.
J’aimerais partager quelques réflexion sur Et maintenant on va où ? de Nadine Labaki. Il s’agit pour moi d’un des meilleurs films que je connaisse et je voudrais expliquer pourquoi.
Dès la première image j’étais scotchée à l’écran – ou disons, dès la deuxième image.
En janvier 2002, la direction du festival de Cannes nous demandait s’il n’était pas possible de constituer un jury interreligieux, c’est-à-dire réunissant, outre des chrétiens, des juifs, des musulmans, des bouddhistes.
Fidèle à ses objectifs, cette compétition internationale présentait une centaine de films venus des pays du Sud, essentiellement d’Asie et d’Amérique latine. Etonnamment, et à notre grand regret, l’Afrique était quasiment absente de la sélection.